Formation de groupes d’opposition, dislocation, scission, reformation… On ne sait plus où donner de la tête dans ce patchwork « extrême droite, droite extrême, droite dite républicaine, centre droit, droite macroniste »… et on souhaite bon courage à Madame Bruyère pour tenter d’exister dans cette coalition d’égos individualistes.
Sans compter l’absentéisme systématique du conseil municipal de Monsieur Farid Benmoussa qui n’a jamais ouvert une délibération, lui qui, en tant que soignant, devrait bien connaître la situation de la santé en France, mais multiplie les mensonges, les insultes, les vulgarités, et tente d’être une sorte « d’influenceur » comme ceux qu’on trouve sur les réseaux sociaux, des influenceurs qui sont le plus souvent, on le sait tous, des menteurs mercantiles.
Rien ne leur convient, ni notre projet global de revitalisation du centre-ville, ni le travail que nous effectuons aux côtés des commerçants en les associant à notre réflexion pour apaiser le centre-ville ou l’aide à l’embellissement des enseignes et devantures des commerces du centre-ville.
Les Vénissians auraient mérité une opposition constructive, qui s’oppose en faisant des propositions. Mais visiblement, le travail démocratique ne les intéresse pas. Ils restent dans une opposition systématique, destructive, uniquement destinée à faire le buzz.
Après avoir attaqué la résidence-accueil Madeleine Pelletier, lieu d’accompagnement pour les personnes en situation de handicap psychique, qui propose un accompagnement pluriel des résidents dans un cadre inclusif et favorisant la reconstruction sociale pour tous, ils s’en prennent à l’ARHM et à son travail autour de la santé mentale, ainsi qu’au CAARUD (Centre d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des Risques pour Usagers de Drogues).
Tout ce travail avec des structures pour mieux accompagner et répondre justement à la problématique de déshérence qu’ils dénoncent ne les intéresse pas. Ils n’ont même pas la politesse d’écouter les réponses du maire ! Quand on dénonce les incivilités, on donne le bon exemple, y compris en conseil municipal.
Ils n’ont rien à dire dans le débat d’idées, dans une construction démocratique. Leur seule motivation est de tenter de faire croire aux Vénissians que les problèmes de police, de justice, de prévention, de santé, ne sont que des problèmes locaux. Mais les Vénissians ne sont pas stupides, ils savent ce qui relève de la Ville et ce qui relève de l’État, de la société tout entière.