Les élus communistes dénoncent fermement l’amalgame honteux qui a été fait entre insécurité et accompagnement psychique.
De plus, une partie de l’opposition vénissiane se fait le relais d’une fausse information concernant l’existence d’une soi-disant « salle de shoot ».
Non, il n’hexiste pas de salle de shoot à Vénissieux. Il existe une structure d’accueil de soins psychothérapeutiques de l’ARHM.
Ce sont des propos discriminants et psychophobes condamnables. L’exclusion ne pourra jamais être une solution face aux difficultés médico-sociales de nos concitoyens.