3 ans après, le nouvel actionnaire a oublié ses engagements, ainsi que l’aide qu’il a reçue des pouvoirs publics et les décisions du tribunal de commerce. Il ferme l’entreprise.
Les 13 emplois sauvés en 2013 sont de nouveau en jeu.
Michèle Picard demande une table ronde d’urgence au préfet.
Dans le même temps, François Hollande va célébrer l’acceptation, par l’État, de la fermeture de l’aciérie de Florange conclue il y a 3 ans, en expliquant que « ça va mieux »…
Dans les deux cas, nous sommes face à un système économique incapable de développer les savoir-faire et les sites industriels. Ce sont des actionnaires dont le seul critère est le profit maximum. Ils détruisent toujours plus d’équipements et d’emplois, tout en promettant toujours la lune.
A Florange, nous avons affaire à un gouvernement qui organise la soumission des salariés et des citoyens, avec des actionnaires qui exercent un pouvoir sans partage.
A Vénissieux, un maire organise la solidarité et la résistance des salariés…
Pour une autre logique économique, il faudrait opérer un véritable changement de société. Quant au travailleur, il sait qu’il peut compter sur un maire communiste pour se défendre ! Et nous continuerons,ensemble, à défendre les Veninov !
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