Les élus socialistes continuent de mener une bataille mensongère systématique contre la ville, au moment même où toutes les droites se réunissent pour faire tomber une ville de résistance à l’austérité et à la casse des services publics.
Dans quelques quartiers, et dimanche matin, L. Ben Khekifa et les siens distribuaient sur le marché leur tract du mensonge. Ils annoncent un coup dur pour la majorité municipale et sa légitimité, reprenant les mensonges de la droite sur le jugement, et oubliant de de dire, qu’eux aussi, sont concernés par l’annulation, pire, cachant bien sûr que le jugement évoque leurs pratiques de campagne illégales.
Mais Mme.Michèle Picard et son équipe restent au travail pour diriger la ville, n’étant à aucun moment mis en défaut par C. Girard, au contraire, personne n’a quoi que ce soit à reprocher à la liste de Michèle Picard, qui reste totalement légitime.
L’amiante, deuxième sujet polémique. L. Ben Khelifa nous reproche la mauvaise gestion du dossier, son manque de transparence ! Sauf que jusqu’en mars 2014, c’est son ancien colistier, Lacem Touati, qui était en charge du patrimoine. Celui-ci s’est d’ailleurs chargé, par voie de presse, de lui rappeler le suivi du dossier.
De plus, il est quand même fort de constater, qu’après avoir repris à son compte les diffamations d’une presse populiste, M. Ben Khelifa n’a même pas pris la peine de venir chercher les dossiers des contrôles effectués, pourtant mis à sa disposition ! Preuve du peu de cas qu’il fait des salariés de la ville, des Vénissians et surtout de leurs enfants. La polémique, ce n’est pas nous qui la déclenchons, mais bien lui qui l’entretient, alors que tous ceux qui suivent le dossier savent que les contrôles confirment qu’il n’y a pas de trace d’amiante dans l’air que respirent nos enfants !
Pour les rythmes scolaires, ses critiques vont bon train : manque d’organisation, de concertation avec les parents d’élèves. Pourtant de nombreuses réunions ont été tenues, auxquelles il n’a jamais assisté. Il critique surtout le manque de cantine le mercredi midi mais n’annonce pas le coût (1 million d’euros supplémentaire) à la charge des familles, vu les baisses des dotations qui nous sont annoncées par le gouvernement qu’il soutient.
Quant aux punaises de lit, son manque de connaissance du sujet lui fait assimiler le problème à un manque certain d’hygiène. Non, M. Ben Khelifa, on peut être propre et être aussi envahi par les punaises de lit. Le scandale, c’est de faire croire que seule la SACOVIV est confrontée à ce fléau. Les autres bailleurs le sont aussi malheureusement, mais, eux, n’ont pas de détracteur pour les mettre au devant de la scène.
Ne confondez pas politique et polémique, les Vénissians eux savent faire la différence !