Après avoir réussi à diviser trois fois son groupe politique, il épanche son anticommunisme en conseil municipal, mais montre qu’il connait bien peu Vénissieux, les Vénissians et leurs préocupations. Il rebaptise, par méconnaissance, le Gymnase Tola Vologe, il vote contre la subvention attribuée à l’OMR en précisant qu’il n’est pas contre. Pour les ouvertures dominicales, il tente de se faire passer pour un opposant au libéralisme.
Christophe Girard est bien le représentant d’une droite revancharde.
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