Nous n’avons pas attendu Macron pour comprendre que la situation budgétaire des communes nous imposait une vigilance. Bien avant l’obligation de ce contrat, nous avons travaillé à la rationalisation de nos dépenses. Nous affichons aujourd’hui des finances saines.
Dans le contrat que la Ville a négocié avec le Préfet, nous avons su convaincre de l’immense travail accompli à Vénissieux et nous avons obtenu un taux d’évolution de nos dépenses de 1.46%, bien au-dessus du taux moyen (1.2%) et tout proche du plafond fixé.
Mais l’urgence sociale est telle que nous savons déjà que ce pourcentage sera insuffisant à partir de 2020, et qu’il nous faut poursuivre nos efforts, mais aussi prioriser nos missions. Les communes vont être amenées à faire des choix, et à Vénissieux, ces choix seront faits avec les habitants.
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